Quand on m’enferme dehors avec Laurence Guenoun…

On n'emmène pas de pelle et de rateau sur la plage.

Ca fait 2 étés qu’on passe ensemble. L’été dernier était assez gris. Pas glop. En mode : « Soudain l’été dernier… ».
On venait juste de me diagnostiquer un bout de viande avariée dans la loche gauche.
On avait quand même réussi à faire une série de photos bien chouette sur la terrasse d’une galerie d'art en plein cagnard.

Et ben, un an plus tard, on a remis ça mais en encore plus fun et plus mouillé.

Entre Laurence et moi, ça prend pas trois plombes.

C’est assez simple, ça se passe plutôt très smooth, comme disent les amerlocks.
Démo ci-dessous, attention, c'est rapide :
Moi : « J’ai ramené des fringues de ma penderie.
Laurence : Super. Demain, on part à l’aube et on fait des photos sur la plage.
Moi : Ok. »

Une mariée mouillée, ça pèse.

Généralement s’ensuit un petit essayage où je défile avec des mélanges improbables dont seule, j’ai le secret, que le monde entier ne m’envie pas toujours mais qui a le mérite de provoquer pas mal de décollement de rétines et de joie hystérique chez qui croise mon passage.
Mais là, on n’a pas trop utilisé mes frusques, un poil seulement.
Elle m’a fait rentrer dans sa robe de mariée Tati, ambiance 80’s.
Très grande robe qui a vu défiler une ribambelle de modèles.
Et bien je peux vous dire qu’une mariée mouillée, ça pèse lourd !

 La vie en une séance de photos.

Souvenirs plein de bonheur foufou à rire et à courir et tomber sur la plage. La vie en une séance de photos.
On commence à bien se connaître, c’est fluide, je suis en totale confiance. Du coup, c’est un kiff immense. Ces prises de vues me boostent à un point, vous n’imaginez pas.
Je me sens super vivante. Et là, ça tombait bien, hein, après mon passage case cancer.

Parce que la mauvaise passe de l’été dernier n’aura pas eu raison de nous. Au contraire.
(Oui, Laurence a eu un été bof en 2020 aussi).
On est tombées mais on s’est ultra bien relevées.
Merci Laurence pour le cadeau de ton amour. Comme une mariée mouillée, ton amour, c’est du lourd.
J’ai beaucoup, beaucoup de chance.

Et sinon, Laurence, t'es dispo en octobre pour mettre des couleurs dans ma vie?

Oui, j’ai sorti deux, trois machins de mon armoire, tu sais, le short doré avec la couronne dénichée dans un bazar chinois près de ton fief au pays de la sangria? Hein, ça te dit?

Pour découvrir le travail de Laurence Guenoun, son insta ICI

et son magazine numérique, PLATEFORM, en collab avec Mathieu Drouet, sur lequel elle met en avant des photographes qu’elle aime (le magazine, pas Mathieu. Oui, je sors.) : ICI

 Vos commentaires et autres retours sur ce shooting sont vivement et fébrilement attendus par ma rousse personne.

Je vous embrasse (j’avais écrit « embrase » sur le brouillon, erreur bien mignonne et qui sonne bien meilleur),

Darling aka Claire Pataut (ou l’inverse).

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